Quand on ne trouve pas en magasin ce que l’on cherche, il vaut parfois mieux le fabriquer.
Nous, ce fut 200, au printemps 2014.
Nous voulions un magazine qui roule plus loin, voie plus large, sache lever le nez du guidon : il n’y a pas que les roues en carbone et les plans d’entraînement dans la vie d’un cycliste. Il y a bien plus : le voyage, la culture, les longues distances, la mécanique, les rencontres, l’aventure, et même le vélo de ville.
Depuis six ans, 200 fait du vélo une aventure permanente.
En ville comme dans les cols, avec ou sans bagages, avec ou sans chrono, sur toutes les routes de France, d’Europe et d’ailleurs. 200 ne distingue pas les coureurs des cyclosportifs, les cyclotouristes des voyageurs, les aventuriers des cyclistes urbains et se moque des catégories.
200 aussi est une petite aventure : celle d’un trimestriel indépendant, parti de rien, qui vit et continue de se développer depuis six ans grâce à ses seuls lecteurs, presque sans publicité.
200 s’approche désormais des 15 000 ventes, abonnements et kiosques confondus (record à l’été 2019), soit une estimation de 50 000 lecteurs.
Merci à tous.
Continuez à nous faire rêver avec des articles décalés par rapport à ce qu’on voit ailleurs. Je rêve de vous imiter modestement même si mes parcours restent pour l’instant bien moins ambitieux. L’essentiel est ailleurs, dans le plaisir de rouler que j’ai l’impression de partager lorsque je vous lis. Longue vie à 200 !
Merci 200 ! Le numéro d’avril 2020 apporte une belle bouffée d’air.
J’ai adoré l’article de Yann Kerninon sur son 200 kms sur home trainer.
Sans 200 je n’aurai peut-être pas connu ce génial garçon. Sa présence dans une revue est à l’image de votre journal : passionnant, spirituel mais sans être pompeux
Par la cause du confinement et la pluie qui arrose enfin le bassin Grenoblois j’ai dévoré de dernier numéro de 200. Ce n’est pas qu’un revue de vélo. Ce sont des textes bien écrits avec une certaine recherche dans la qualité littéraire des récit avec souvent de l’humour. En ces temps de confinement, c’est de la torture de vous lire. Quand il ne pleut pas je fais mon heure de speed machine (C’est le nom de mon vélo couché) par jour dans un rayon de 1km autour de chez moi… J’ai hâte de rouler ailleurs et plus longtemps.. En attendant, mille fois merci pour votre revue que je déguste et dont je relis les anciens numéros pour la dixième fois sans m’en lasser.